La Cédéao a assuré vendredi aux auteurs du coup d’Etat au Niger qu’il n’était « pas trop tard » pour reconsidérer leur position, mais que l’option d’un recours à la force restait « sur la table ». Les généraux qui ont chassé le président Mohamed Bazoum au cours de la rébellion du 26 juillet ont demandé une période de transition de trois ans avant un retour des civils au pouvoir, tandis que la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) exige un rétablissement immédiat de l’ordre constitutionnel. La Cédéao affirme que les négociations restent sa priorité, tandis que les chefs militaires des pays de l’organisation se préparent en vue d’un éventuel « usage légitime de la force » pour rétablir la démocratie en cas de besoin. VOA/AFP
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