Cri-2002 : Sall et ses méfaits!
Neuvième (9ème) article de l’an 2023 et 57ème au total depuis le 12 janvier 2019, date qui restera gravée dans les annales de l’association comme point de départ de la fronde manifeste contre Sall et sa petite clique d’assoiffés et de nouveaux venus pour jouer au cirque.
Des individus qui n’ont que faire des notions de conviction et d’engagement mais très portés sur l’argent avec son corollaire de se servir comme bon leur semble dans le plat collectif ; cela sans vergogne.
En effet, l’indulgence des membres fondateurs envers Sall a consisté à persévérer dans le mal sans retenue : aucun compte rendu, aucune collégialité, pas même de réunion digne de ce nom si ce n’est que pour monter des projets dont l’exécution se fait à sa guise avec des séances de camouflage de la réalité et de saupoudrage des bailleurs. C’est cela le fonctionnement de l’Association fondée et crédibilisée par feu Maître SOW, le DEVOUE, le DEMOCRATE. A vrai dire, Abdoulaye Sall a dénaturé notre patrimoine commun en dépit des remontrances, avertissement et admonestations à son encontre. L’homme persiste et signe dans l’égarement.
Pour toutes ces raisons, il n’est point exagéré d’affirmer que Sall est et demeure un simple prétentieux qui se porte psychologiquement la considération qu’il n’a guère eue. Impossible pour un tel personnage négatif de s’amender pour prendre le droit chemin ; même l’âge n’y peut rien. Bien au contraire, le déclin comportemental va en s’empirant, inéluctablement. Ce qui est dommage car la première victime reste l’individu lui-même. Sall est dans un vrai pétrin au crépuscule de sa vie non pas que le sort s’acharne contre lui ; mais bien à cause de ce que ses deux mains ont accompli à la suite de ses pensées funestes pour son prochain.
1. Sall, l’homme au comportement aux antipodes de la vie associative
Abdoulaye Sall, Président par défaut de l’association Cri-2002 en 2004 pour succéder au fondateur et premier Président, feu Maître SOW nommé par le Président de la République d’alors (ATT) à la Cour Constitutionnelle suite au décès de Abdramane Baba Touré (Président de l’institution), a vite oublié les conditions rocambolesques dans lesquelles il a eu ce prestigieux poste associatif. Il n’a été nullement question de mérite mis de disponibilité du moment ; Sall n’ayant aucun mérite ni professionnel, ni social, ni autre en tout cas par rapport aux multiples valeurs intrinsèques à l’intérieur de cri-2002 à l’époque.
Inimaginable de voir ces tares se réaliser à l’association Cri-2002, un think tank donneur de leçons mais dans les faits loin de donner l’exemple à cause des agissements répréhensibles de Sall. Et pour cause :
o la convocation sélective des membres de Cri-2002 à nos réunions et Assemblées, notamment à l’AG du 12 janvier 2019
o la mise à l’écart du Permanent dans la prise de décisions tout comme le contrôleur de gestion pour donner libre cours à l’opacité dans la gestion
o le fait de remplir la salle de nouveaux venus, inconnus des annales de Cri-2002
o la monopolisation de toutes les Conventions de financement
o la monopolisation des deux véhicules Cri-2002
o le népotisme dans le recrutement à Cri-2002.
o L’exclusion progressive des membres fondateurs au profit de ses amis et affidés.
Autant d’actes qui n’honorent pas son auteur au sein d’une association qui lui a pourtant tout donné, de surcroit un septuagénaire au crépuscule de sa vie !
2. Cri-202 affaibli par l’action judiciaire qui a mis Sall à genou
Aucun Président associatif ne peut rester à se prévaloir de son titre avec une flopée d’actions judiciaires à son encontre comme c’est le cas de Sall. Par décence et par souci du progrès de l’association, la personne démissionne le plus simplement possible.
Mais, Sall est un cas singulier en ce sens qu’il vit et respire par Cri-2002, association sans laquelle il reste dans l’oubli le plus ignoble. Mais, en continuant à s’activer au nom de l’association, le revers de la médaille est qu’il est honni par tous et toutes ; ce qui justifia le titre de l’article intitulé Doni don goman, pour illustrer son rôle au sein de Cri-2002. Bref, Sall cerné par les problèmes de mauvaise gouvernance interne, est condamné de toutes parts. Aucune échappatoire possible pour lui.
Il reste assis au banc des accusés de l’histoire pour avoir semé haine et désordre entre collaborateurs et avoir pourri l’atmosphère de travail conviviale par cupidité.
Très porté sur la recherche effrénée de gloire et d’argent, Sall mit en PERIL LES MULTIPLES ACQUIS de l’association fondée et crédibilisée par les dignes fils et filles du pays qui sont notaires, grands commis de l’Etat, avocats, juristes, officiers retraités, financiers, liste non exhaustive qui ont sué et transpiré afin que Cri–2002 soit depuis le lancement du Manifeste le 24 avril 2000.
C’est pour dire aux observateurs que Sall est, évidemment, le maillon futile et inutile de la chaine tant ses mauvais actes ont consumé ses rares faits positifs.
C’est toute la désolation semée au long de son parcours associatif qui plongea Cri-2002 dans l’arène judiciaire le 21 janvier 2019 du tribunal de la Commune IV à la Cour Suprême le 25 juillet 2023.
En effet, outre la gifle judicaire subie à la Cour d’Appel en mai 2020, la Cour Suprême lui administra sa deuxième paire de gifle en ce mois de juillet 2023 en donnant raison au jugement de la Cour d’Appel qui savonna Sall pour son comportement irresponsable et aventurier au sein de CRI-2002.
DAME JUSTICE SOLLICITEE ET JUSTICE FUT ! L’ordre sera mis à l’intérieur de Cri-2002, pour de bon, au nom de la mémoire du fondateur Maître SOW, homme à la fois grand par la taille et par l’esprit à l’image du premier Président de la République feu Modibo KEITA. SOW avait de la conviction et de la vision alors que Sall ne voit pas plus loin que le bout de son nez tant il est limité. Sa devise est « Carpe diem » qui signifie vivre pour le temps présent. Point.
3. Tous les septuagénaires font la promotion des jeunes pendant que Sall les enfonce, notamment ceux de Cri-2002
A vrai dire, l’association Cri-2002 n’a eu qu’un seul Président de sa création le 24 avril 2000 à ce jour : c’est Maîtred Abdoulaye-Sékou SOW.
Sall, venu par défaut comme dit et démontré à maintes reprises, n’est là que pour ses propres intérêts : financier, promotionnel et que sais-je encore ? Sall ne sert pas l’intérêt collectif ; il ses sert plutôt. Cela est visible et lisible dans ses actes au quotidien. Si ce n’était pas le cas, pourquoi s’accroche-t-il alors qu’il est honni.
L’homme n’a aucun scrupule à se mettre au début et à la fin de toutes les initiatives au sein de Cri-2002. Devant les médias, c’est lui seul qui parle, chez les partenaires, c’est encore lui, lors de l’audience avec les autorités, encore lui, dans les salles de formation, monsieur je connais tout est là à débiter l’auditoire des propos malsains et offusquants. .Il n’a aucune retenue à s’exhiber partout et à en toute circonstance provoquant la désapprobation générale et l’incompréhension face à cette attitude de septuagénaire hyper agité sans motif.
Tenez bien, Abdoulaye Sall déteste la photo de passation qui l’a fait roi en 2004 au centre Djoliba lors de la conférence de presse animée par feu notre premier Président maître SOW et organisée par votre serviteur, Organisateur en chef et Conseiller Permanent monsieur KEITA. Et pour cause ! Simplement parce que l’image vaut mille mots. Il faisait le petit secrétaire assis entre feu maître SOW et monsieur KEITA ce jour-là. Ses quelques affidés Modibo Koly et Madame Boiré), n’étaient pas à Cri-2002 en ce temps pour prétendre faussement se prévaloir de quoi que ce soit. Ils ont rejoint l’association Cri-2002 par amitié pour leur patron et non par conviction et engagement ; raison pour laquelle ils vendent leur âme au diable, incapables de tenir quelque langage de vérité que ce soit. Tout ce qui leur importe, c’est de pouvoir empocher quelques sales gains financiers.
Personne ne peut être fer d’avoir des individus comme ceux-ci (Sall, Modibo, Assétou Boiré) comme parents sans oublier le plus tagninina parmi ce cercle démoniaque qu’est le retraité Moussa Traoré, homme sans foi ni loi pourvu qu’il ait de l’argent à Cri-2002 et pouvoir survivre aux aléas de la vie de retraité.
Une chose est certaine : la flamme CRI -2002 survit à cette mafia à travers le succès judiciaire devant mettre fin à leurs prétentions funestes.
Bamako, le 18 septembre 2023
Mamadou F. KEITA
Organisateur en chef depuis août 2000
Conseiller Permanent depuis février 2010.
