Salem Bazoum, fils de l’ancien Président nigérien Mohamed Bazoum, a bénéficié d’une remise en liberté provisoire le 8 janvier. Il a été accusé de « complot ayant pour but de porter atteinte à l’autorité ou la sûreté de l’État ».
« L’intéressé a bénéficié d’une liberté provisoire du juge d’instruction du tribunal militaire en date du 8 janvier 2024, à charge pour lui de répondre à la justice dès qu’il sera requis », indique une ordonnance publiée par le greffier du tribunal militaire.
Salem Mohamed Bazoum est accusé de « complot ayant pour but de porter atteinte à l’autorité ou à la sûreté de l’État ».
Depuis le coup d’État du 26 juillet, il était gardé au sein du palais présidentiel avec ses parents.
Lundi 8 janvier, le ministre des Affaires étrangères togolais Robert Dussey était à Niamey où il s’est entretenu avec le Premier ministre Ali Mahaman Lamine Zeine, selon la télévision publique nigérienne.
Quatre mois et demi après que des militaires ont renversé le Président Mohamed Bazoum, la communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest a acté officiellement le coup d’État au Niger.
À l’issue du sommet, la CEDEAO a maintenu ses sanctions économiques et financières imposées à Niamey. Les sanctions économiques ont entraîné une pénurie de médicaments, une hausse des prix alimentaires et des coupures d’électricité au Niger.
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