Incapable de rivaliser selon les règles du jeu sportif avec le président Habib SISSOKO qui laisse rien au hasard, celui qui ne manque aucune opportunité aussi farfelue soit-elle, pour tenter de discréditer le comité olympique, joue invraisemblablement un jeu dangereux. Sa récente humiliation face aux juges ne semble être que le début d’une déconvenue qui risque de ne pas épargner à la longue notre cyclisme.
Dans l’incapacité de jouer dans les règles de l’art, le pathétique revanchard haineux qui ne représente que sa propre personne au sein de notre mouvement sportif, a cru pouvoir instrumentaliser la justice tout comme le cyclisme pour parvenir à ses fins.
En violation des statuts types imposés par l’État et qui ôtent toutes compétences aux juridictions de droit commun en matière de traitement des litiges sportifs, Sidi Bagayoko puisque c’est de lui qu’il s’agit, est entrain d’embarquer le cyclisme dans un conflit d’égo personnel au nez et à la barbe du ministère des sports étonnamment passif.
En effet, depuis un certain temps, le fameux Sidi a décidé de franchir allègrement le Rubicon dans sa guerre personnelle contre le président Habib SISSOKO. Au risque de paraître ridicule, sa haine viscérale contre l’icône du mouvement sportif national, sous régional et continental l’a conduit dangereusement sur plusieurs terrain glissant qu’il ne semble pas maîtriser. Qu’à cela ne tienne, l’objet pour eux est tout simplement de jetter l’opprobre sur un honnête cadre dont la vie se confond aisément avec les succès engrangés par notre sport ces dernières années. Selon certains observateurs, toute cette comédie vise à atténuer leur promesse de changement à la tête du comité olympique demain lors de l’AG, car ternir l’image du président Habib aux yeux du monde, est une gymnastique grotesque, insensée et inutile qui n’est pas donnée au premier venu.
Une dénonciation judiciaire vide
En ce qui concerne la dénonciation judiciaire, elle est loin d’être un problème pour une intégrité de la trempe de Habib SISSOKO, imbibé des valeurs de l’olympisme. Sachant pertinemment que ses allégations n’ont aucune chance judiciaire, l’auteur de cette machination qui ne tarrissait pourtant pas d’éloges envers celui qu’il tente de salir aujourd’hui, compte tout simplement sur une publicité mensongère autour de ses différentes sorties plus diffamantes qu’informatives pour ternir l’image du président du comité olympique. Cette ignominie, qui au-delà de la personne de Habib jette le discrédit sur notre pays agace les nombreuses fédérations qui soutiennent mordicus le président Habib SISSOKO. Déjà des sources concordantes contre l’avis du président annoncent une plainte en gestation auprès du procureur chargé de la lutte contre la cybercriminalité. Et pour cause, la supposée dénonciation n’est basée sur aucune preuve tangible, mais tout simplement un verbiage méchant, plein de haine et de contrevérité pour des fins de communication nuisible.
Trop de transparence qui dérange
Au de la forme de cette dénonciation haineuse qui laisse aucun doute sur la volonté de son auteur de régler des comptes que tout le monde connaît, son fond qui ne résiste à aucune analyse objective, laisse transparaître une guerre d’égo.
En parlant de la subvention allouée au CNOSM qu’il incrimine à outrance, Sidi Bagayoko semble réclamer sa part comme si cette subvention était un gâteau pour les fédérations. De bonne foi, il aurait dû savoir que l’État ne donne pas deux fois une subvention à la même entité. M. Bagayoko occulte sciemment la subvention qu’il perçoit annuellement comme toutes les fédérations de la part de l’État. L’orthodoxie financière ne permet jamais à une entité de bénéficier deux fois d’une même chose.
Pour rappel, la subvention accordée au CNOSM pour son rôle d’utilité publique vise à le soutenir dans son fonctionnement et ses activités au bénéfice indirect des fédérations, des athlètes et autres compétitions.
Étant le seul habilité à justifier les fonds qu’il perçoit auprès de qui de droit, Habib SISSOKO a la fâcheuse habitude de ne pas distribuer de l’argent liquide à ses partenaires. Cette posture qui permet au CNOSM d’avoir un œil vigilant sur la destination de ses différents appuis par souci de transparence, semble déranger le fameux Sidi Bagayoko et ses soutiens frileux de l’espèce sonnante et trébuchante.
TENTATIVE DE BLOQUER L’AG
Après l’échec de la dénonciation fallacieuse à la justice, celui qui ne tarissait pas d’éloges pour le président du CNOSM il y a si peu, est revenu à la charge sur la pointe des pieds. La méthode qui ne dupe personne est connue de tous. Elle consiste tout simplement à créer de toutes pièces une situation sans aucun fondement sportif encore moins juridique, pour que s’en suive une cabale médiatique préméditée dans le seul but de nuire à celui qui bénéficie de la confiance totale et entière du mouvement sportif national.
Seulement, au-delà de la personne injustement visée pour des raisons personnelles connues de tous, ces attaques veines et stériles discréditent aussi notre pays, très admiré et respecté par le mouvement olympique international grâce au président Habib SISSOKO.
La saisine par voie d’huissier du Comité National olympique au sujet des allégations de mauvais perdants de la prochaine assemblée générale prévue pour demain ressemble plutôt au dernier coup de sabots d’un cheval mourrant. Les amplifications des caisses à résonnance motivées à cet effet n’y changeront rien. Ils étaient censés être assez responsables pour comprendre que ce n’est pas une dénonciation fantaisiste encore moins une simple correspondance d’humeur qui vont ébranler le leadership inné du président Habib SISSOKO.
Poussés par la haine viscérale contre cet icône du continent, il s’est ridiculisé aux yeux du mouvement sportif et de l’opinion qui n’ont jamais douté de l’intégrité du sportif dans l’âme.
Ouvert, intègre, sociable, engagé et intransigeant sur la cause de notre sport, Habib SISSOKO est également un perfectionniste très stricte sur les valeurs de transparence liées à l’olympisme.
L’échec cuisant devant le juge concernant l’assemblée générale de demain ne semble être que le début de la descente aux enfers pour les brebis égarées de notre sport.
HABIB ET LA BONNE GOUVERNANCE
Avec Habib, la bonne gouvernance financière du Comité National Olympique et Sportif du Mali est une réalité palpable. C’est grâce à lui que la structure a été reconnue d’utilité publique et par conséquent retenue parmi les bénéficiaires de subvention pour l’accompagner dans ses activités mais aussi pour les besoins de son fonctionnement. Le principal griefs qui est d’ordre pécuniaire de Sidy Bagayoko est tout simplement ridicule. Ouvertement, il reproche au président Habib SISSOKO de ne pas lui verser de l’argent chaque année dans sa subvention. Le tords de Habib est de ne pas donner de l’argent liquide mais plutôt d’accompagner les activités des différentes fédérations à travers les équipements, la logistique, les formations et autres au besoin en nature.
Avec le soutien du mouvement sportif, le président Habib SISSOKO continuera son chemin pour le bonheur de notre sport.
Aussi, il appartient à l’État, notamment le ministère des Sports de veiller à ce que les opportunistes ne gâchent ce que le mouvement sportif à construit pendant des années, à moins que…
A suivre !
Lamine DIALLO
Journaliste sportif